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Le petit monde de Cocotine
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30 septembre 2009

Un coin de paradis

Ecoeurant, non ?

Même pas pris l'avion. Bon, c'est sûr, j'étais pas en bikini-paréo-tongs mais c'était chouette quand même.

Allez, comme je suis une brave fille, je vous dirai où c'est. En attendant, cherchez un peu...

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30 septembre 2009

Atchoum !

Moi : T'as pas froid ?
Miss Cocotine : Si, j'ai envie d'atessouher !

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30 septembre 2009

Signe extérieur de rêverie

Pas de doute, c'est moi la plus rêveuse des deux. Mais parfois, l'homme se laisse aussi aller !

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30 septembre 2009

Maman les petits bâteaux

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29 septembre 2009

Rose pour la vie

Je rends ma copie à Madame Fées Maison ! Du rose girly, ce n'était pas dur à trouver dans un petit monde où les filles sont en majorité et se débrouillent pour que ça se sache...

rose

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29 septembre 2009

Gourmandise limitée

Je vous avais promis d'être gâtés à la rentrée. L'affaire est faite. Et franchement, pour le nombre incalculable de fois où l'homme a décanillé à l'aube pour surveiller sa production et tout le dévouement qu'il a apporté à ce projet sympathique, je me dois de vous annoncer que pour ses 35 ans, Picard vient de sortir une très jolie boite dans laquelle vous découvrirez 15 macarons concoctés avec soin et amour.

Pour vous mettre l'eau à la bouche, voici les cinq parfums :

coing-poire-orange
pêche blanche-rose
citron vert-basilic
praliné-yuzu
(petit agrume asiatique entre le pamplemousse et la mandarine) 
café-spéculos

Moi, ça fait plusieurs mois que je les teste. Attendez, faut bien avoir quelques avantages en nature quand même ! Mon préféré, c'est le praliné-yuzu.

Et que du naturel. Aucun colorant chimique ou autre ingrédient inavouable. Le tout pour 6,75 €. Trop fort.

Attention, les gourmands, c'est une édition limitée !

Si ça vous amuse, voici le petit film que Picard propose sur son site. On y voit l'homme charlotté et masqué...

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29 septembre 2009

Baptisée !

En remerciement de vos com' doux, drôles et gais, une rose et... une adresse de crêperie dont vous me donnerez des nouvelles...

La Crêperie Lézoréguic à Ploubezré vers Lannion

Il paraît que quand le patron est là, l'ambiance est torride. Malheureusement, nous ne l'avons pas vu car il est actuellement hospitalisé. Sa femme, adorable, tient la boutique toute seule et se débrouille drôlement bien. Pensez à réserver car c'est petit et atrocement convoité.

Et je dois vous avouer un truc absolument dément :

J'AI GOUTE MON PREMIER CHOUCHENN,

offert gentiment par la maison. Une sorte de révélation ! Du coup, j'ai mené l'enquête et pour la consultation d'un post, vous aurez non pas une mais deux bonnes adresses. La vie est quand même belle !

La Cave du Dragon Rouge

Moi, c'est pour le Vieux Doux que je me suis pâmée... Mais non, c'est pas l'homme que j'appelle comme ça... Ah, mais c'est pas vrai, y'en a qui ne suivent rien du tout...

Soyez heureux !

Pssst : Un petit clin d'oeil à Chouchenn qui me rend visite régulièrement et qui s'est attribuée ce nom de scène. Maintenant, je comprends pourquoi...

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28 septembre 2009

L'amour du risque

Dimanche soir, à 100 à l'heure sur la 4 voies entre Saint-Brieuc et Rennes. Un choc violent sur le côté droit de la voiture.

Peur.

Des choses sur la route qui ressemblent à des cailloux. Une sortie. L'homme la prend et s'arrête. La porte arrière est cuite.

On nous a balancé une pierre.

A 60 cm de la vitre de Miss Cocotine.

Mon sang ne fait qu'un tour. J'attrape le portable et je fais le 17. L'homme passe en trombes dans le bled et se gare sur le bas côté. Au fond, la 4 voies.

Il sort et tel Jack Bauer, se met à courir à travers champ. Je l'appelle. "Reviens, c'est dangereux. Attends les flics." Il n'entend pas et disparaît. Je panique. C'est peut-être la dernière fois que je le vois vivant. Je l'imagine déjà troué de coups de couteaux. Pourtant pas cliente de Bones ou NCIS.

Je me reprends. Impossible de laisser Miss Cocotine toute seule enfermée dans la voiture. Un couple se promène. Je leur explique. Ils m'indiquent la gendarmerie à deux pas. J'y fonce en voiture.Tout est clos. Je reviens vers le champ toujours désert.

J'aperçois des jeunes filles qui font du vélo dans leur jardin. Je ne réfléchis pas. Il faut que je rattrape l'homme. J'appelle la Maman et je lui demande de garder Miss Cocotine. Je pars en courant.

A peine arrivée dans le champ, j'aperçois sur la route deux jeunes, le visage défait et rouge. Je me dis qu'ils ont l'air franchement bizarre. Ils passent devant moi et se mettent à détaler. Au même moment, l'homme apparaît, en sueur. Je comprends qu'il faut agir. Je me lance dans ma plus belle foulée mais j'ai rien de l'homme qui valait trois milliards. Les jeunes ont pris de l'avance. D'un coup, je réalise que ma voiture est garée juste là. Je saute dedans, je démarre vite et un peu plus loin, je les coince sur le trottoir.

Tremblante et dans un état indéfinissable, je leur hurle : "Vous n'avez que ça à faire, le dimanche ? Jeter des pierres sur les voitures ! J'ai une petite fille de 5 ans à l'arrière. Vous imaginez si elle avait pris ça dans la figure ? Et ma portière ? Qui va me la réparer ?" J'ai la trouille qu'ils s'enfuient mais ils sont tétanisés. "On n'a rien fait. c'est pas nous." Visiblement, ils n'ont rien de dangereux délinquants. Je rappelle le 17. Là-dessus, l'homme apparaît et leur en remet une couche, hors de lui.

Ils ont 14 et 15 ans.

Les gendarmes débarquent et en deux secondes, ils avouent. Ils ont fait ça comme ça. Ils ne savent pas pourquoi. Les parents complètement décomposés nous rejoignent. Je ne voudrais pas être à leur place. Je m'éloigne pour les laisser régler leurs comptes. Quelque part, ça me donne envie de chialer. Beau gâchis. On nous explique la procédure. Soit on porte plainte et tout ce joli petit monde s'expliquera devant le juge, soit on fait un constat à l'amiable avec les parents. On choisit la deuxième option.

Deux heures plus tard, après avoir éclusé notre stock de constats, accepté les plates excuses des zouaves et serré la main à tout le monde sans rancune, on reprend la route, conscients que le destin aurait pu tourner dans un autre sens pour nous, comme pour eux, et persuadés d'avoir fait les bons choix. Dans la série "Mieux vaut en rire", je congratule l'homme et le baptise Jonathan Hart. Il me serre la pogne en m'appelant Jennifer.

Plus de peur que de mal. 600 € de portière quand même. L'assurance va probablement payer.

Mais grave, si grave qu'à 5 heures ce matin, je pensais à ces deux gamins et que  je n'avais pas le moins du monde envie de rire.

Une chose est sure : moi qui criais à tout va que je voulais du week-end excitant, j'en ai eu pour mon compte !

28 septembre 2009

Entrelacées

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28 septembre 2009

Bonne pêche

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