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Le petit monde de Cocotine
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20 décembre 2010

1 heure 30 de pur bonheur

Si les merveilles imaginées par nos grands pâtissiers vous font rêver et que vous n'étiez pas devant la télé ce soir, courez sur France 5  (jusqu'au 27 décembre) pour découvrir ce superbe reportage qui met l'eau à la bouche.

La revanche des pâtissiers

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20 décembre 2010

Trêve des confiseurs

A l'issue de cette 50ème semaine de l'an 2010, je flotte dans un état de sérénité absolue.

Allez savoir si c'est ma virée solitaire agrémentée d'un menu sushis-brochettes à la capitale ou les candidats potentiels à 2012 qui n'en finissent plus de sortir de derrière les fagots, jurant leurs grands dieux qu'ils ont un programme renversant, j'ai retrouvé le goût de vivre.

Ca tombe à pic car c'est bientôt Noël et qu'à Noël,

on DOIT être heureux et faire la fête.

Pourtant, ici, pas plus de table à rallonge qu'en 2009, mais cette année, bizarrement, je m'en bats l'oeil.

Car tout bien réfléchi, rester sobre en ces périodes d'étalage, ça permet d'échapper à ces-formidables-moments-de-bonheur-obligé-avec-la-panoplie-que-t'as-pas-choisie et d'éviter, entre autres :

- d'avoir le boudin blanc qui se coince face aux scuds de Belle-Maman-la-dessoudée qui persiste à te voir comme une rivale,

- de subir les blagues fétides de Tonton-Gaston-lourd-comme-du-plomb qui dès qu'il a un coup dans le nez se met à divaguer en bavant dans ton oreille,

- de mourir d'ennui quand ta belle-soeur se vautre dans son snobisme habituel en brandissant ses cartes favorites belle-maison-beaux-enfants-belle-voiture-beau-sac,

- de te balancer en mode apnée pour écouter pieusement les doléances de Tatie Germaine c'est-inouï-ce-qu'elle-peut-refouler-du-goulot-la-bique,

tout en engloutissant frénétiquement des milliers de calories sans traçabilité mais dûment arrosées de Cordon Rouge, histoire de te faire oublier que t'as flanqué une bonne partie de ton treizième mois dans des cadeaux inutiles destinés à cette joyeuse bande d'hurluberlus.

Oui, décidément, je vais passer un Noël paisible en me concentrant sur les beaux yeux d'une petite fille qui a décidé de croire encore au Père Noël et qui a refusé de faire une liste tout simplement parce que si-on-sait-y'a-plus-de-surprise.

Ainsi que vous le pressentez, il est temps, pour moi, de vous abandonner et de me retirer dans mon chalet de Courchevel...

Vous qui passez ici, qui restez un peu ou qui lisez beaucoup, je vous souhaite, à vous aussi,

LE PLUS SEREIN DES NOELS...

Si toutefois vous aviez cette idée saugrenue de prendre votre voiture, n'oubliez pas d'emporter des duvets, une glacière remplie de victuailles, quelques bons crus, des thermos de tisane, le Camping Gaz de-quand-vous-étiez-jeune, des allumettes et l'i-Pod à brancher sur le tableau de bord pour l'ambiance. Réveillonner sur l'A1 entouré de routiers bloqués, ça peut avoir son charme.

Bonne fin d'année et merci pour ce que vous me donnez !

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18 décembre 2010

Petits papiers

Abandonner le tissu pour se mettre à tripoter du papier de récup', c'est exactement ce à quoi j'ai employé mes deux derniers jours. Que faire d'autre ? Après quelques flocons poétiques, il s'est mis à pleuvoir des cordes.

Bon week-end à tous !

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16 décembre 2010

Enguirlandée

Un vieux drap, des pois, un coupon aux nuances turquoises, tous les ingrédients étaient là pour une petite guirlande de Noël.

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16 décembre 2010

Paris sera toujours Paris

L'envie de faire un saut à Paris ne m'est pas venue comme ça. De longs mois de frustration profonde côté dressing m'ont menée un matin de décembre à ce constat affligeant :

J'ai un seul jean pour passer l'hiver.

On a beau être FUNEMPLOYED jusqu'aux dents, on n'en est pas moins consciente que du jean à 79,90 €, voire plus, on en mangera quand on sera certainement moins FUN, mais beaucoup plus EMPLOYED.

Quand la neige est arrivée sur notre beau pays, j'ai soudain réalisé que si je ne faisais pas bouillonner mon réservoir à idées, à coup sûr, je mourrais de froid le jour où j'enverrai mon unique jean claquer dans le tambour.

Horrifiée par la probabilité d'une fin aussi peu glamour, j'en suis vite parvenue à la conclusion que ma solution tenait en six lettres :

A pied, à cheval ou à vélo,

il faut que j'aille chez UNIQLO.

L'unique magasin, à ma connaissance, à vendre des jeans torrides pour 39,90 €.

Mardi matin, à peine le pied posé sur le quai de Montparnasse,  j'ai respiré à pleins poumons et j'ai sauté dans le 95 pour mettre mon plan en action.

A 10h47, un sourire machiavélique en coin, je gravissais fièrement les escaliers lumineux dudit Uniqlo en jurant que j'allais péter la Visa. Foi de Cocotine, il allait me le payer en kilos de tissu, l'homme, de m'avoir emburkannée dans ce bled-paumé-du-double-four.

Une queue de 28 personnes plus loin, je ressortais avec un petit sac estampillé contenant un slim chauffant et un boyfriend feu de plancher en me disant que ma vengeance n'était franchement pas à la hauteur de l'affront subi.

Accessoirement, j'ai léché les vitrines des grands magasins, contemplé le sapin géant des Galeries, reluqué l'Opéra, attrapé le 21 pour courir chez Kyo me repaître de sushis et de brochettes (menu à 11,80 €), viré chez Mariage pour 200 g de thé luxueux, fait tous les étages du BHV, puis toutes les rues de Beaubourg aux Halles, marché jusqu'à la mairie, passé la Seine en m'extasiant, bifurqué vers le marché aux fleurs, abandonné le Palais de Justice pour traverser l'autre bras en admirant Notre-Dame, farfouillé chez Gibert, le jeune et Joseph, remonté en direction de Saint-Germain en jetant un coup d'oeil chez Mulot (où l'homme a fait ses classes), louché devant Hermé, grimpé la rue de Rennes avec un crochet au Bon Marché et fini par m'asseoir dans mon TGV en rêvassant du jour où, comme je l'avais juré-craché devant la Tour Saint-Jacques, je ne reprendrais plus le train.

Ben oui, je suis une amoureuse de Paris, comme les lyonnais sont amoureux de Lyon, les nantais de Nantes, les bordelais de Bordeaux, les marseillais de Marseille et ainsi de suite pour les 36677 autres communes qui composent notre douce France.

Où est le mal ?

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15 décembre 2010

Gourmandises corses

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13 décembre 2010

Aux anges

Depuis que je suis une fervente adepte du funemployment, je m'enhardis, je m'émancipe, je m'épanouis.

Ainsi jeudi dernier, alors que je me morfondais dans mon-bled-paumé-du-double-four même pas enneigé, j'ai osé rendre visite à voyages-sncf.com et le hasard faisant bien les choses, je suis tombée nez à nez avec un aller-retour Nantes-Paris à 53 €. Vous imaginez bien que je ne pouvais pas passer à côté d'une occasion pareille.

Il suffisait juste de poser mon costume de MAF en déléguant tous mes pouvoirs magiques à l'homme pour 12 heures...

et à moi les illuminations fascinantes,

les vitrines extravagantes

et la foule bouillonnante.

Désolée, mais je ne ramènerai aucune photo de cette folle escapade. Je pars flairer le bitume avec pour seuls compagnons un sac vide et ma petite carte de crédit.

Je ne touche plus terre !

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13 décembre 2010

La grosse pagaille

C'est émue jusqu'aux larmes que j'ai mis un point final à cette 49ème semaine de 2010.

La réconciliation poignante des Betancourt, notre-Carla-si-jolie qui s'extasie au pied d'un satellite, la révolution étrangement silencieuse de Cantona,

et la neige qui tombe du ciel en décembre.

Que de moments forts en émotions, franchement, et si finement décortiqués par les journalistes.

Quand je pense que certains ont accusé notre GG (sigle de mon cru pour Gentil Gouvernement) qui lui-même s'en est pris à Météo France. Heureusement que Sainte Ségo est apparue pour mettre de l'ordre dans cette histoire et prier le Premier Ministre de s'excuser auprès des français.

Une vraie bonne pagaille.

Une fois de plus.

Pendant ce temps, la-fille-qui-règle-ses-pas-sur-les-pas-de-son-père a fini par se voir créditée de 17% d'intentions de vote en 2012.

Alors, français, françaises qui passez par là par hasard ou par envie, permettez que je clôture mon-billet-qui-ne-vaut-pas-un-clou par une carte pas-du-tout-politiquement-correcte. Que les écolos intégristes et les coincés-des-zygomatiques ne viennent pas me chercher des poux dans la tête car à mes yeux, il ne nous reste plus que ça pour survivre,

le xième degré.

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Bonne semaine à tous!

12 décembre 2010

4 heures gourmand

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12 décembre 2010

Petites touches de saison

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