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Le petit monde de Cocotine
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29 septembre 2013

Déclassée

De la dépendance à la déchéance, c'est plutôt sombre. Cate Blanchett y est fantastique. Ma gourmandise du jour.

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28 septembre 2013

Tourner la page

Depuis que je cours du matin au soir, j'ai délaissé la déco de ma bicoque à deux balles. Mais en ces premières journées d'automne, j'ai une envie furieuse de faire le tri et de passer à autre chose. Ma première cible, le canapé troué qui me fait pitié, ma deuxième, le lustre et les appliques à pampilles que je ne peux plus voir en peinture et ma troisième, l'armoire de ma chambre qui me donne des cauchemars. En attendant de mettre mes plans diaboliques à exécution, je bave sur le catalogue automne-hiver de

Bloomingville

1Photo Bloomingville

je me perds sur le site de

Tsé & Tsé associés

3b66efa5aaf14cc44f6c7fd2e6cf59ef7f7a1f49Photo Tsé & Tsé associés

et je me noie dans la gamme de

Linum

Linum-HT13_0011Photo Linum

C'est bon de rêver, non ?

28 septembre 2013

Un dernier chouïa de réchauffé

28 septembre 2013

Encore du réchauffé

Puis le soleil est apparu timidement lorsqu'on est monté sur le toit de l'Ecole d'Architecture et là, très belle surprise avec cette superbe vue sur la ville.

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28 septembre 2013

Du réchauffé

Pour X et Y raisons, Nantes n'est pas une ville qui me fait vibrer, mais comme rien n'est jamais tout noir ou tout blanc, j'en aime bien certains coins tout de même. Fin août, à l'occasion du Voyage à Nantes, j'ai embarqué la Cocotine's family dans une petite virée sur l'île de Nantes. Ca a commencé dans la grisaille.

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28 septembre 2013

J'aime mon ciné

La seule incartade que j'ai commis ces dernières semaines, c'est de continuer à utiliser ma carte UGC. Et du coup, je viens ici, ce matin, vous livrer mes impressions à deux balles sur les derniers films que j'ai choisis.

Tout frais, j'ai emméné Miss Cocotine le voir hier soir, histoire qu'elle soit consciente, cette petite, qu'ailleurs, l'école est perçue comme un luxe. Les vrais héros de notre temps, ces gamins. Tous ces sourires, une leçon. Comme ils disent sur l'affiche : c'est extraordinaire.

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Gros pétage de plomb pour cette restauratrice qui vit avec sa mère. On la comprend, mais pour échouer dans un bar country perdu en pleine Bretagne profonde, faut vraiment que ce soit intense. Plus les kilomètres défilent, plus sa coiffure part en vrille et plus elle fume. Mais l'esssentiel, c'est que, bien loin de son point de départ, elle trouve son happy end.

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Survoler un bout de l'histoire des Etats-Unis aux côtés de Forest Withaker, j'ai adoré, en fait. Et Oprah Winfreh n'est pas mal non plus. Mon coup de coeur de ces derniers jours.

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Le sujet n'est pas des plus joyeux : le personnel embauché en contrat temporaire dans les centrales nucléaires, celui qui descend le plus au coeur. Mais comme j'aime bien Tahar Rahim et que je raffole d'Olivier Gourmet, c'est passé. A réserver pour le jour où vous vous sentez fort comme un roc.

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Celui-ci, je l'avais repéré mais raté au ciné. C'est un polar très bien ficelé et du coup, je l'ai propulsé en haut de mon top ten 2013. Je ne vous en dirai pas plus à part "Ne passez pas à côté.".

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Léon n'a pas forcément les mêmes goûts que moi. C'est étrange, mais à la longue, je m'y suis faite. Un soir de liberté, il a voulu m'embarquer voir ce polar qui ne me disait pas grand chose. J'ai suivi en râlant un peu et au final, à part la fin, j'ai trouvé l'ensemble assez divertissant.

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Benoît Poelvoorde, comment dire ? Je l'aime plus que de raison. Et puis, se trouver une place sur la terre, depuis que je suis en âge de raisonner, c'est une question qui me hante. Alors, forcément, cette histoire m'a remuée.

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26 septembre 2013

Le baratin du jeudi 26 septembre 2013

Si, lorsque j'ai pointé mon nez dans ce monde débile un jour d'automne à l'hôpital Foch de Suresnes, quelque cartomancienne m'avait avertie que bien des années plus tard, mon avenir se jouerait dans l'atmosphère improbable de la salle d'expo des Oudairies à la Roche-sur-Yon, je me serais vite fait hara-kiri avec le premier scalpel en vue.

Malheureusement, ça ne s'est pas passé comme ça et Bouddha s'est encore joué de moi en m'envoyant là-bas pour un nouvel exercice.

En janvier 2013, après avoir décortiqué avec méthode les possibilités extravagantes d'avancement que m'offrait ma nouvelle carrière dans la FPT du double-four, j'ai capté que, si je ne pratiquais pas, encore une fois, la politique

du BTF (ou Bouge Tes Fesses)

je mettrais quelques bonnes dizaines d'années à gravir péniblement les échelons en grattant un ou deux ou trois points à 4 € et des cacahuètes bruts tous les un ou deux ou trois ans.

Pas de quoi m'acheter cash la cahute crêtoise de mes rêves.

Sans compter que, même en faisant preuve d'un optimisme débridé, je pouvais affirmer sans risque que des décennies, devant moi, je n'en avais pas à la pelle.

Ce constat pitoyable m'a aussitôt poussée à m'inscrire pour passer un autre concours, histoire de me donner l'illusion d'avancer. Puis, j'ai procrastiné et même essayé d'oublier que j'avais eu la prétention de choisir l'épreuve de finances, budgets et intervention économique des collectivités territoriales. En dernier ressort, pétrie de lâcheté, j'ai fui.

A Chypre.

La suite, vous la connaissez.

Enfin, en partie seulement.

Car la face cachée de l'iceberg est nettement moins glamour : des soirées à me goinfrer d'articles de La Gazette des Communes, des pauses déjeuners heures à disséquer le site gouvernemental des collectivités locales et des week-ends à stabilobosser mon Foucher de chevet en tentant d'imaginer à quelle sauce j'allais être mangée le jour J.

Et ce fameux jour J,

c'était hier.

Avec toute la bravoure dont je peux faire preuve mes jours de just-do-it, j'ai sauté dans ma décapotable à 9h00 pour un rendez-vous à La Roche-sur-Yon à 13h30. Deux fois quatre gouttes de Rescue sur la langue et j'étais assise bien droite devant ma copie, prête à en découdre avec le sujet qui me faisait de l'oeil à travers sa belle enveloppe dûment cachetée.

Le tout était d'ignorer mes centaines de voisins bien alignés en blocs d'internes, d'externes ou de 3ème voie.

Tout ça pour vous expliquer que l'affaire est bouclée, voire baclée, et que je peux donc reprendre une vie normale.

D'ailleurs, je vais me coucher sans mon Foucher.

Demain, qui, paraît-il, est toujours un autre jour, je bosse dans ma catégorie poids plume, et vu le niveau glauque de ma prestation, c'est sûrement pour un bail.

A bientôt pour de nouvelles aventures,

et merci pour vos petits mots !

16 septembre 2013

Fini le bon temps

J'ai lutté de toutes mes forces pour prolonger cette belle parenthèse et vivre encore quelques semaines

au rythme de Chypre.

Mais cette rentrée très mouvementée aura finalement eu raison de mes velléités d'ouvrir une taverne grecque dans le double-four ou de devenir une virtuose du bouzouki et j'espère qu'un soir d'insomnie, j'aurais trois sous d'inspiration pour venir vous la conter par le menu.

En attendant ce moment de libération, j'espère que mes images vous auront transmis mes émotions et donné l'envie de prendre, à votre tour, la poudre d'escampette.

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16 septembre 2013

Nicosie réunifiée ?

J'ai adoré le nord de Nicosie comme j'en ai aimé le sud. Les chypriotes, turcs et grecs, nous y ont réservé le meilleur des accueils et la ville est riche de toutes les cultures qui s'y sont mélangées. Alors, je veux croire qu'un jour prochain, la solution sera enfin trouvée.

En attendant ce moment fort, baladons-nous dans le joli quartier de

Samanbahce,

réabilité récemment grâce au programme de rénovation de la ville entrepris avec le soutien des Nations Unies et de l'Union Européenne (Nicosia Master Plan).

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16 septembre 2013

My tailor is rich

Certaines rencontres brèves ont une intensité incroyable. En quelques minutes, on s'abreuve de tout ce qu'il y a à cueillir chez l'autre et on repart avec la certitude d'avoir vécu un moment d'exception.

C'est exactement ce qui m'est arrivé en tournant dans cette rue de Nicosie nord.

Amusée par l'enseigne, je suis rentrée dans cet atelier où j'ai été très gentiment accueillie par Osman, un vieux Monsieur charmant. Tailleur de l'ONU depuis 1964, il m'a raconté plein d'anecdotes amusantes sur son parcours si riche et poétique.

Osman, I will never forget you.

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