Un midi chez Jamie
Pas de réveillon de Noël extravagant en prévision mais un déjeuner chez notre chef préféré. Le bonheur.
Covent Garden
Fracasser le cochon
From London
I wish you a Merry Christmas
I wish you a Merry Christmas,
I wish you a Merry Christmas...
Le baratin du mardi 18 décembre 2012
Depuis que je suis stagiaire dans la FPT du double-four, j'affiche un air benoît et je sautille d'allégresse de 6h40 à 22h37.
C'est l'effet tout-nouveau-tout-beau.
Autant vous dire que mon inspiration en a pris un sérieux coup et que les maux ne se tricotent plus avec autant d'aisance qu'auparavant.
Heureusement, tout ça ne va pas durer.
Et d'ailleurs, au lieu de me noyer dans une banalité pitoyable en vous assassinant de I-wish-you-a-Merry-Christmas, je préfère amplement venir vous souhaiter
la plus joyeuse des fins du monde.
Vous savez quoi ?
Mes GC (Gentils Collègues) ont pour usage d'offrir un pot de bienvenue à tout nouvel arrivant et lorsque la responsable administrative a déboulé dans mon bureau pour m'annoncer la date de la petite sauterie concoctée à mon intention, j'ai pouffé de rire en pensant qu'elle me livrait là l'anecdote bouillante dont j'avais besoin pour reprendre du service :
le 21 décembre 2012.
Comme-qui-dirait,
ça va péter.
En attendant cette journée diabolique, j'ai bien peur de devoir vous annoncer que, si les Mayas sont aussi fiables que Paco Rabanne, je ne repointerai mon nez ici que l'année prochaine. J'ai un autre projet ô combien plus explosif sur le feu. Perspicaces comme vous l'êtes, vous ne devriez avoir aucun mal à deviner de quoi il s'agit. En six ou sept lettres, tout dépend de la langue.
Merci mille fois pour vos mots doux
et n'oubliez pas de vous enflammer
pour un oui et pour un non,
avant et après l'apocalypse.
Un gros ours et une petite souris
Ernest adopte Célestine qui adopte Ernest. Les magnifiques albums de Gabrielle Vincent nous ont été conseillés, entre autres, pour expliquer l'adoption à notre fille. Le film est une vraie joie.
Et vous, vous l'avez vu, ça vous a plu ?