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Le petit monde de Cocotine

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12 août 2011

Au feu les brassards

L'amour débordant que Miss Cocotine a toujours voué à l'eau nous épate depuis ses 18 mois. Cette année encore, elle s'en est donné à coeur joie et miraculeusement, elle est passée en 10 jours de la brasse en apnée aux 4 nages en surface. Et sans qu'on ne fasse rien sinon discuter au bord de la piscine en faisant semblant de l'ignorer. Là, toute seule dans son coin, elle a décidé de faire une longueur de brasse, puis une autre et encore une autre, et de fil en aiguille, complètement éberlués, on l'a vue attaquer le crawl, continuer en dos et finir en papillon. A quand la même  avancée fulgurante en lecture ?

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12 août 2011

Extra pur

Quoi de plus excitant, par temps gris, que de faire le plein chez Marius Fabre à Salon de Provence avec un seul objectif : de l'extra pur pour récurer bio ? Autrement dit, des mois, voire des années de bonheur en prévision.

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12 août 2011

Plus pour la Sorgue que pour la chine

Incontournable pour les chineurs de tout poil, L'Isle-sur-la-Sorgue et ses dizaines d'antiquaires et brocanteurs où il vaut mieux aller flâner le dimanche lors du déballage comme on l'avait fait il y a plusieurs années. Un lundi dans le froid et la pluie, c'est un peu moins attrayant, surtout en plein mois de juillet. Pour le plaisir des yeux plutôt que pour dénicher l'affaire du siècle évidemment, sans oublier que s'enfoncer dans la ville pour y renifler la vraie vie, ça peut être tout aussi palpitant.

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11 août 2011

Au bout du monde, Sivergues

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11 août 2011

Juste à temps

Jamais je n'avais traversé la Provence au moment où la lavande est en fleurs. Là encore, c'était juste. Alors quand on est tombé sur ce champ-là, je n'ai pas boudé mon plaisir.

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11 août 2011

Un tour à Saignon

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11 août 2011

Maudit juillet

Lâcher le double four* et sa grisaille pour tailler la route, c'est toujours jouissif, surtout quand on a tout misé sur la Provence. Comme chacun sait, au bout du bout de la France, l'herbe est forcément plus verte.

Trois jours à ripailler dans le Périgord - essentiellement pour oublier que sauter dans un canoë et descendre la Dordogne sous un soleil étincelant, c'était repoussé à la Saint-Glinglin - n'ont que très peu entailler ma joie d'être enfin positionnée au sud de la Loire.

Après tout, 550 km nous séparaient encore de la destination finale. Tous les espoirs restaient donc permis, d'autant que je ne suis pas du genre à guetter les bulletins météo de notre Evelyne Dhélia au déhanché savamment travaillé.

Dans le sud, c'était évident, il ferait beau.

Seulement voilà, plus on tuait les kilomètres avec le chauffage à fond et plus je me disais que jamais je ne me féliciterais assez d'avoir attrappé mon écharpe mérinos au vol avant de quitter le bled et que si j'avais été encore plus finaude, j'aurais ressorti mon sac à chaussettes d'hiver et balancé quelques grammes de pure laine vierge dans la valise.

Pendant que je gambergeais à la pertinence du contenu-du-bagage-idéal-destination-soleil généralement préconisé par la bande des Elle-Prima-Femme-actuelle-Biba, le pont de Millau faisait son apparition et mon Léon, gagné par une sourde anxiété, m'annoncait sans ménagement "Il fait 12 degrés !".

Passé le Larzac, le thermomètre s'émoustilla tout de même un peu et notre bonne humeur avec, mais en approchant d'Avignon, il fallut se rendre à l'évidence :

on plafonnait à 24 en plein après-midi.

De prime abord, le sud m'a donc cruellement déçue. J'y ai appris que mon rêve absolu, à savoir prendre mon petit déjeuner dehors, n'est pas forcément plus évident à atteindre que dans le double four, qu'on peut y être autant frustrée que sur une plage bretonne en regardant la piscine sans réussir à y plonger plus que dix doigts de pied, que se passionner pour La Provence parce qu'il pleut des cordes sur la plus belle cour intérieure de France et de Navarre peut s'avérer être l'ultime distraction et que se chauffer la couenne au sac de graines de lin avant de s'endormir n'est pas si absurde qu'on aurait pu l'imaginer.

Les jours défilant et juillet mourrant, la température a retrouvé peu ou prou ses normes saisonnières mais je n'ai vraiment transpiré que trois fois, ce qui, au vu de ce que je vous ai déjà confié sur mes attentes en matière de climat, est loin d'être un exploit. Malgré tout, les regards craintifs que je lançais chaque soir au bulletin de Météo France avidemment décortiqué par mon Léon, suffisaient à assécher mon sac à compassion. Ceux qui avaient parié sur un été torride à l'ouest étaient beaucoup moins bien lotis que moi et à coup sûr, les adeptes de Montalivet devaient avoir repris goût au textile.

Et dire que certains illuminés ont cru bon de nous prédire une canicule !

* un clic ICI et, chanceux que vous êtes, vous saurez ce que veut dire double-four...

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* un clic ICI et, chanceux que vous êtes, vous saurez ce que veut dire double-four...

11 août 2011

Enorme coup de coeur pour Apt

Ses belles demeures du quartier des confiseurs, sa Cave Sylla et ses bonnes bouteilles, ses volets baignés de lumière, son Fournil du Luberon dont les pains spéciaux m'ont comblée, en particulier celui aux figues, ses ruelles où l'on s'égare volontiers, son marché du samedi où l'on se ruine en banons, celui du mardi où la marchande de légumes du bout vend avec ses deux petits-enfants, ses boutiques de fruits confits aux belles couleurs, ses petites brocantes et surtout celle de Victor qu'on a retrouvé là-bas par hasard après avoir logé chez lui au Moulin de La Pleugère dans le Perche en 2003, son restaurant Thym te voilà qui chatouille les papilles... et bien sûr, La Madone et ses charmants apéros sous la verrière.

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10 août 2011

Un lieu d'exception

Dans un hôtel particulier du XVIIIème, en plein coeur d'Apt, l'appartement Renaissance de La Madone est absolument fabuleux et possède l'avantage de donner sur une cour intérieure au charme indicible.

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10 août 2011

Profiter de chaque instant

Une belle rencontre avec Nathalie et Jean-Bernard Masset, antiquaires et heureux propriétaires de La Madone à Apt, une demeure magnifique située dans le quartier des confiseurs où, croyez-moi sur parole, il fait bon vivre.

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