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Le petit monde de Cocotine

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9 mai 2011

T'as claqué combien ?

Quand mon Léon sort du bled, il se lâche total et devient panier percé. Après tout, c 'est pas moi qui vais m'en plaindre. Quoique... Faut faire les comptes maintenant...

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9 mai 2011

Fonder de plaisir

Miss Cocotine, les yeux gourmands : Maman, tu connais les Primch ?

Moi, perplexe : Les quoi ?

Miss Cocotine, agacée par mon ingorance crasse : Les Primch, c'est des gâteaux avec du chocolat fondé !

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9 mai 2011

Au noix pour le fromage

Mon premier pain au levain aux noix que j'ai été heureuse de partager, dimanche, avec des amis de longue date. Si vous êtes tentés, la recette est sur le blog Au levain.

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9 mai 2011

Is my future hopeful ?

Quoi de mieux qu'un bon film de Woody Allen pour se détendre ? Depuis Manhattan, je suis sous le charme, mais ces dernières années, j'en avais ratés quelques-uns. Récemment, j'ai décidé de me rattraper. Le dialogue qui m'a fait hurler de rire dans celui-ci :

Helena : He left me for another woman.

Sally : No !

Helena : A deceased one.

Si vous l'avez vu, vous comprendrez. Sinon, allez LA.

Alors, vous l'avez vu, ça vous a plu ?

Vous_allez_rencontrer_

6 mai 2011

A la fauli

Une fin de vacances entre filles pendant que mon Léon se tue au travail de l'autre côté du Channel. Surtout, ne le plaignez pas. Entre deux desserts, il teste quelques resto tendance et arpente tout London pour ruiner le compte joint. Trop dure, sa vie. Pendant qu'il batifole dans le fog - manquerait plus qu'il ait du soleil en plus -, Miss Cocotine et moi, on profite du jardin et planquée dans son tipi de fortune, elle me gribouille des mots d'amour.

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6 mai 2011

Au bois de la Chaize

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5 mai 2011

A vélo dans les marais salants

20 à 25 kilomètres de balades à vélo par jour, c'est exactement ce dont on avait envie pour ce break. Mon coup coeur : la traversée des marais salants pour respirer le printemps, observer les hérons cendrés ou les aigrettes, discuter avec les sauniers et faire le plein de bonheur dans une cabane à sel.

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5 mai 2011

Les ruelles de Noirmoutier-en-l'île

Si je peux vous conseiller un resto à Noirmoutier-en-l'île, c'est bien Le petit Bouchot qu'on a découvert il y a quelques années grâce au Routard. Pensez à réserver et s'il fait beau, mangez dehors, leur terrasse est croquignolette. A l'intérieur, la déco est assez sobre et certainement moins branchouille qu'à d'autres endroits, mais dans l'assiette, ce n'est pas du Brake. En plus, l'accueil et le service sont irréprochables.

Par contre, au Vélo Noir où on est allés pour la première fois, énorme déception. La salle est très jolie, la cuisine excellente, mais le menu d'appel à 13 €, qui s'apparente plus à une assiette de trois mini tapas qu'à un repas digne de ce nom, nous a scotchés. Le manque de générosité est flagrant et on n'est quand même pas loin de l'arnaque. On s'est bourrés de pain et finalement, on a commandé un fromage après le dessert tellement on avait faim. Si vous y allez, ne faites pas la même erreur que nous et faites-vous plaisir à la carte.

Ou bien mieux,  choisissez le menu à 17 € du Petit Bouchot.

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4 mai 2011

So glamour

Ca faisait un bail que cette histoire de glamping m'intriguait. Pour ceux qui vivent sur une autre planète, le glamping, c'est le mariage entre glamour et camping.

Un phénomène paraît-il hyper tendance qui jusque-là, ne m'avait inspiré que cette question : Comment peut-on accepter de débourser jusqu'à 180€ la nuit en pleine saison sous prétexte qu'un tipi, c'est diablement plus glamour qu'une bonne vieille canadienne ? Je devais être bornée, je ne voyais pas.

C'était pourtant simple. Pour faire fantasmer le citadin en mal de verdure, il suffisait de prendre une tente qui ait de la gueule, d'y mettre quelques couchages bon marché, une kitchenette avec un deux feux relié à du Butane, un évier Ikéa et un mini frigo, d'agrémenter le tout d'un coin lavabo-douche-sanibroyeur, et le résultat, c'était ce qu'on pouvait se hasarder à appeler une glamtent.

C'est en furetant sur un site anglais répondant au doux nom de Jollydays que j'ai capté tous les bienfaits que pourrait sans aucun doute m'apporter ce nouveau style de camping. Et vous imaginez bien  que les petites guirlandes de fanions accrochées par ci par là ne pouvaient que me faire trépigner d'envie.

Peu après, j'ai découvert Les Ormes dans le Périgord et en fouillant encore un peu, j'ai déniché du glamping à la ferme Un lit au pré. En deux temps trois mouvements, j'avais dégoté une vidéo de Sept à Huit qui expliquait tout sur le phénomène et comme je suis un petit être faible, le concept m'a tout bonnement ensorcelée.

Du glamping, c'était clair,

désormais, je voulais faire du glamping.

Le glamping, c'était surtout à mes yeux, l'assurance de ne pas trouver les poils de tout le camping dans mon bac à douche et de ne pas traverser la moitié du terrain à 3h12 en culotte-tee-shirt pour aller faire mon petit pipi de nuit avec mon sacro saint rouleau de PQ sous le bras.

Emballée par ces découvertes extravagantes, j'en touchai deux mots à mon Léon qui analysant vite la situation, me  balança un glacial attends-payer-ce-prix-là-pour-dormir-dehors-je-préfère-aller-chez-Flore. Vu comme ça, je ne pouvais que remballer mon audacieux projet.

Après tout, mon Léon avait raison. Et puis, le camping, on avait donné. De pays chauds en régions froides, la mini tente à arceaux achetée pour rien à La Redoute avait fini par rendre l'âme et nous avec. Avec le temps, patienter 20 minutes pour que l'eau frémisse sur le Camping gaz ou gonfler son matelas pneumatique rapiécé 3 fois par nuit, ça avait bigrement perdu de son charme.

Mon Léon et moi, on s'était comme-qui-dirait embourgeoisé et mon dos, lui, complètement déglingué.

Malgré tout, je suis revenue à la charge. L'air de rien, j'ai chassé la promotion et à la dernière minute, j'ai réservé trois nuits au Camping des Moulins à Noirmoutier en me disant que la Vendée, c'était peut-être au sud du double four mais pas assez pour parier sur 32° un 1er mai et qu'il valait mieux jouer la prudence.

Et j'ai bien fait.

Car ma première nuit sous la glamtent Fleur de sel n'en a pas manqué, justement. Alors que je tentais péniblement de m'endormir sur un matelas de piètre qualité, il a commencé à pleuvoir doucement puis à seaux, transformant petit à petit les lieux en une espèce de maison hantée, humide et glacée. Là-dessus, la marée a monté, mettant définitvement fin à mes rêves de sommeil profond.

A chaque ressac, je me demandai si une vague géante n'allait pas engloutir l'île, obligeant les pompiers et les journalistes de Ouest France à se réveiller plus tôt qu'ils ne l'auraient espéré pour un 1er mai.

Inconscient du drame qui se tramait, mon Léon ronflait joyeusement, engoncé dans son sarcophage. Je le regardai tendrement en me disant que dans cet accoutrement, lui au moins, était fin prêt à passer l'arme à gauche. De mon côté, je commençai à me demander si j'avais bien fait de nier toute religion quand dans ce brouhaha, j'entendis soudain des pleurs. Manifestement, Miss Cocotine était, elle aussi, au bord du gouffre et murmurait : "Maman, j'ai peur !". N'entendant que mon courage, je me précipitai dans sa chambre pour la réconforter et de fait, décidai de laisser mon Léon seul face à son horrible destin.

Serrée contre Miss Cocotine et ma bouillotte régulièrement chauffée au micro-ondes (l'avantage du glamping !), je réussis enfin à m'assoupir quelques heures.

Au petit matin, la Cocotine's family se réveilla la bouche pâteuse et l'oeil vitreux. Entre deux bouchées de gâche, Mon Léon, dans un élan narquois, me crédita d'un :

Eh, ton glamping, c'est quand même du camping.

Certes, mais l'environnement est joli, la plage magnifique, la piscine extraordinaire et flaner en bicyclette à Noirmoutier, ça vaut bien trois nuits épiques sur un matelas de bois. Enfin, hors saison, car, comme dit Léon, je ne mettrais pas 100€ dans une nuit de glamtent. Faut quand même pas pousser Mémé dans les orties.

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3 mai 2011

En route pour l'aventure

J'adore Noirmoutier. Ne me demandez pas pourquoi. C'est comme ça. L'un de se charmes, c'est sans aucun doute le passage du Gois qui s'ouvre et se renferme au gré des marées. Samedi matin, vers 10h15, la mer s'était retirée, laissant place à des dizianes de pêcheurs affairés s'oubliant dans des positions improbables et c'est  à ce moement précis que la Cocotine's family quitta le continent pour vivre une aventure hors du commun.

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