Mort d'un bureau - épisode number 2
Une belle journée à poncer, enduire, attendre, poncer, enduire en veillant à profiter pleinement des dernières heures du jaune d'oeuf, condamné à mort sans même avoir eu droit à un procès équitable. Et pour les accros du genre,
le grand retour de la charentaise !
D'ailleurs, Chouchenn, j'avoue que, depuis que la France entière sait que le fétichisme est tendance dans la FPT, je me pose des questions sur ton enthousiasme quant à la façon dont mon Léon est chaussé. Du coup, tu es punie.
Ce sont mes pieds.
Profitez !
Mon petit lopin m'offre toujours de belles surprises. Après les rhododendrons et les oeillets de poète, les agapanthes que j'avais reçues en cadeau pour la fête des mères de 2008 prennent le relai et commencent à pointer leur nez.
L'occasion de vous en faire profiter, de vous remercier pour vos com' et vos mots en privé, de dire aux petits nouveaux qu'ils sont les bienvenus et de vous souhaiter à tous
un bon week-end !
J - 1
Il y a quelques mois, quand la maîtresse nous a informés que l'école serait fermée le vendredi 3 juin et qu'en compensation, les enfants seraient réquisitionnés le mercredi précédent, j'ai immédiatement reluqué mon calendrier et j'ai bondi de joie :
un pont de 4 jours !
Toute contente et prête à boucler ma valise pour fuir mon bled maudit, j'ai mailé mon Léon :
Y'a un grand break à l'Ascension. On fait quoi ?
Devinez ce que j'ai reçu en retour :
On peint !
J'ai remballé mes rêves en grommelant et puis, j'ai réfléchi. Etant donné qu'il m'avait déjà fait ce coup-là en 2010, 2009, 2008, 2007 et 2006 et que le bureau était la dernière pièce à refaire dans la bicoque, je pouvais être quasiment certaine que 2012 serait mon année, celle des escapades folles et des projets d'ailleurs.
Ca m'a mis du baume au coeur car comme chacun sait, tout vient à point à qui sait attendre.
Pour l'instant, je me prépare à vivre pleinement mon week-end pinceaux, mon Léon ayant prévu de courir, ce soir, chez Brico-Dépôt.
En même temps, le bazar infâme qui règne dans la chambre, ça ne peut plus vraiment durer...