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Le petit monde de Cocotine
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18 décembre 2013

I feel it in my toes...

2013 meurt doucement mais moi, je tiens bon.

En me gavant de Love actually et de Good morning England la main dans un ballotin, certes, mais bon, chacun ses pansements.

D'ici quelques jours, je taillerai la route direction l'est, là où Savagnin et Comté font bon ménage et

je regarderai Noël

briller dans les yeux de ma fille.

Tout en évitant de me lancer dans des bilans qui pourraient même me couper l'envie d'une boite chaude.

Ce qui serait ballot.

En 2014, il fera jour.

Et peut-être que Bill Nighy ou Colin Firth ou Liam Neeson viendra m'enlever.

A bientôt pour de nouvelles aventures,

et surtout, n'oubliez pas d'être heureux !

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15 décembre 2013

My wishing tree

Une branche badigeonnée, des étoiles qui brillent, quelques boules alvéolées et des pinces peinturlurées pour suspendre

des souhaits de bonheur.

It's beginning to look a lot like Christmas, isn't it ?

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15 décembre 2013

My Christmas carol

Ambiance sanatorium pour notre déjeuner dominical entre filles, il fallait bien se faire plaisir entre deux quintes de toux. Alors on a invité Scrooge à partager nos plateaux repas.

C'était audacieux,

mais finalement très pratique pour expliquer à Miss Cocotine pourquoi des Noëls en famille, je n'en avais pas eus depuis des décennies. Des pingres, des suspicieux, des vilains, mon arbre généalogique en était plus farci qu'aucune dinde ne le serait jamais, et manque de bol, aucun esprit bien intentionné n'était jamais venu leur rendre visite à une heure du matin. Zeus sait à quel point j'ai pu lutter toute ma vie pour ne pas leur ressembler, j'en suis usée.

Mais bigre de bougre,

mes fêtes 2013

seront aussi belles

que l'happy end du conte de Dickens !

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10 décembre 2013

Se faire plaisir

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8 décembre 2013

Glacial mais...

J'y suis allée pour cette formidable bande d'acteurs mais sur le coup, ça ne m'a pas emballée. C'est plutôt froid, et de non-dits en mensonges, les personnages ne m'ont pas donné beaucoup d'émotion.

J'aurais aimé plus de limpidité, surtout à la fin. A attendre un rebondissement ou des explications qui ne sont jamais venus, je suis sortie bigrement déçue.

Et puis, j'y ai repensé et j'y repense encore.

Du Xavier de Klapisch, 40 ans, à Paul, la soixantaine, la question est la même : ai-je pris le bon chemin ?

C'est le coup de la broderie de Schopenhauer, non ?

"La vie est comme une broderie. On passe la première partie du côté extérieur de la broderie et c'est très joli. On passe la seconde moitié de l'autre côté. C'est moins joli, mais on voit comment sont placés les fils."

Pile poil entre Xavier et Paul, je n'en finis pas d'observer l'envers de mon point de croix, moi.

Dire que dans 10 ans, j'y serai encore.

"La vie est comme une broderie. On passe la première partie du côté extérieur de la broderie et c'est très joli. On passe la seconde moitié de l'autre côté. C'est moins joli, mais on voit comment sont placés les fils."
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/culture/cinema/cedric-klapisch-karin-viard-a-chaque-film-j-ai-essaye-de-la-caser_972097.html#RTFqwKYgbGpqXfDW.99

 

"La vie est comme une broderie. On passe la première partie du côté extérieur de la broderie et c'est très joli. On passe la seconde moitié de l'autre côté. C'est moins joli, mais on voit comment sont placés les fils."
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/culture/cinema/cedric-klapisch-karin-viard-a-chaque-film-j-ai-essaye-de-la-caser_972097.html#RTFqwKYgbGpqXfDW.99
"La vie est comme une broderie. On passe la première partie du côté extérieur de la broderie et c'est très joli. On passe la seconde moitié de l'autre côté. C'est moins joli, mais on voit comment sont placés les fils."
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/culture/cinema/cedric-klapisch-karin-viard-a-chaque-film-j-ai-essaye-de-la-caser_972097.html#RTFqwKYgbGpqXfDW.99
"La vie est comme une broderie. On passe la première partie du côté extérieur de la broderie et c'est très joli. On passe la seconde moitié de l'autre côté. C'est moins joli, mais on voit comment sont placés les fils."
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/culture/cinema/cedric-klapisch-karin-viard-a-chaque-film-j-ai-essaye-de-la-caser_972097.html#RTFqwKYgbGpqXfDW.99

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8 décembre 2013

La vie, c'est compliqué

Le Xavier de Klapisch, c'est un peu la version masculine et frenchie de Carrie Bradshaw. Du pur sucre donc. Surtout pour une fille comme moi qui n'a jamais su aller d'un point A à un point B et qui pourrait faire une thèse sur le portnawak. Mes moments préférés : Audrey Tautou qui parle chinois et Schopenhauer et Hegel qui débarquent à New York. Bref, la mayonnaise a pris et j'ai bien ri.

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6 décembre 2013

Merci Monsieur Mandela

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6 décembre 2013

Le baratin du vendredi 6 décembre 2013

Ces derniers temps, j'ai vraiment failli lâcher la barre de ce blog à deux balles. Embringuée toute la journée dans des embrouillaminis sans intérêt, je n'ai plus, le soir venu, une once d'énergie pour me lancer dans de profondes réflexions. En aurais-je seulement le goût d'ailleurs ? Ce monde débile me met les nerfs en pelote et je finis par oublier que l'humour sauve de tout.

Naviguer de la FPT à BFM TV, believe me,

it's exhausting.

Et cette semaine, dans ma collectivité bien-aimée, j'ai eu mon lot de réjouissances. Lundi, branle-bas de combat, l'ordre a été donné de saisir toute facture avant même qu'elle ne soit arrivée au courrier. Soucieuse de rendre mon GB (Gentil Boss) heureux, je me suis exécutée, et plutôt deux fois qu'une, puisque la grippe ayant frappé l'une de mes collègues, une partie de son boulot m'est retombée sur le coin du nez.

Ce qui fait mal.

Mais ce qui fût ordonné fût fait, quitte à en avoir le bras déglingué et l'épaule disloquée - 41 clics de souris pour passer 1 facture sur leurs logiciels pourris -  et le tas de documents à refourguer à la trésorerie s'est mis à grimper de manière vertigineuse dans le bureau de la comptable.

Evidemment.

Sauf que, tout à coup, dans les hautes sphères, on s'en est étonné.

A tel point qu'une horrible rumeur s'est soudainement mise à circuler : tout ne pourrait être traité dans les délais impartis et avec le taux de TVA qui allait changer le 1er janvier - grande découverte -, c'était la quadrature du cercle.

Conclusion aussitôt brillamment balancée : un pourcentage honorable de ce qui venait d'être fait dans l'urgence serait très probablement à défaire la semaine prochaine pour mieux être refait début 2014.

Là, mon cerveau a buggué,

car en vilain zèbre que je suis, j'ai une tendance absurde à penser que direction devrait, entre autres, rimer avec anticipation.

Heureusement, j'avais pris rendez-vous chez mon nouveau kiné, qui, si j'occulte ses pratiques barbares - il me visse des ventouses sur la nuque et les reins -, reste le gars avec qui j'ai les échanges les plus poilants du moment.

C'est lui qui m'a raconté, par exemple, que le maire du bled d'à côté, un socialiste cumulard très proche du gouvernement actuel, et pour lequel j'ai moisi dans un bureau glauque en 2012 sans même qu'il daigne venir me serrer la pince, s'était fait enchaîné par le Canard pour corruption supposée. Logique, on ne peut pas être à l'écoute des agents qui végètent dans ses murs et se faire rincer d'une Scottish pint en même temps.

J'en ai perdu une ventouse.

Remarquez, de mon côté, je ne suis pas en reste pour lui en livrer d'aussi bonnes, ce qui, vu ma lecture actuelle, à savoir "La violence des riches" de Monique Pinçon-Charlot et Michel Pinçon, n'est pas franchement une tâche ardue.

Le souci, dans tout ça, c'est que, une fois l'hilarité passée, je n'ai plus qu'une envie :

flanquer ma carte d'électeur au panier.

Et d'ailleurs, croix-de-bois-croix-de-fer-si-je-mens-j'vais-en-enfer, les incompétents de ma mairie qui, pour des raisons purement politiques, ont mis en place cette réforme des rythmes scolaires sans se donner le temps de réfléchir à ses conséquences, et qui se font, de surcroît, moussés dans leur magazine sur trois pages, ne me verront pas aux municipales de 2014. Le vote blanc n'étant toujours pas reconnu - à moins que le texte ne finisse par être voté le 1er avril 2014, la bonne blague - je resterai chez moi.

Je jette l'éponge et me mets à la mode norvégienne :

la slow TV.

26 heures et 4 secondes d'interview en norvégien, 5 heures de tricot dans la même langue, 7 heures à regarder l'Express côtier faire Oslo-Bergen ou 12 heures devant un feu de cheminée, voilà qui me changera des bavards blindés qui s'écoutent parler, des politiques véreux qui s'agenouillent face aux lobbies, des culottés qui manifestent alors qu'ils sont pourris-gâtés et des vautours qui se gargarisent de la crise depuis des années.

J'ai dû en oublier, des indécents, non ?

Bon week-end !

4 décembre 2013

Christmas is coming

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2 décembre 2013

De justesse

Je n'ai pas vraiment eu le temps d'innover pour la présentation de mon calendrier de l'Avent. Alors, j'ai tenté d'imaginer de nouvelles surprises, et sans un gramme de sucre cette fois. Dans chaque pochette, j'ai glissé de petits bons :

- bon pour un origami (trouvé sur Chine Culture),

- bon pour un film au ciné,

- bon pour une énorme surprise à chercher dans la maison (une boite de Lego divisée),

- bon pour veiller tard,

- bon pour un gros poutou dans le cou.

Et comme Miss Cocotine a dépassé les bornes des limites la semaine dernière, j'ai inversé la tendance pour les 1er et 2 décembre :

- bon pour faire plein de bisous à Maman,

- bon pour faire un gros calin à Maman.

Que c'est jouissif, les punitions de décembre !

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