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Le petit monde de Cocotine
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21 novembre 2010

Lazy day

Un dimanche paresseux pour se remettre de nos frasques...

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21 novembre 2010

Eighties revival

Rien de très innovant mais tellement réjouissant. Une party raclette. Et quand elle est suivie d'une playlist spéciale eighties, on verse dans le kitch quasi jouissif pour les quadras qu'on est devenus... seulement par la force des choses. Côté mise en scène à deux balles, comme la semaine dernière, un papier cadeaux du suédois en chemin de table.

Vive les copains, vive la musique, vive la vie !

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19 novembre 2010

Trop tout

J'y suis allée confiante, pratiquement sure d'être subjuguée. Tant de bons acteurs, c'était fichtrement alléchant. J'en suis ressortie mal à l'aise en me demandant où Guillaume Canet avait voulu m'emmener.

C'est finalement très caricatural avec du pathos à la louche. Une bande de petits-bourgeois-qui-se-regardent-le-nombril dans une baraque au Ferret pendant que l'un d'entre eux est en train de mourir tout seul dans un hôpital parisien, le tout sous l'oeil d'un ostréiculteur moraliste qui finit par recadrer tout ce joyeux petit monde de névrosés et déboule au cimetière pieds nus avec son sac de sable, certainement pour démontrer ce qu'est vraiment l'amitié.

Les multiples scènes de l'enterrement de Ludo sont longues comme un jour sans pain, les gags relativement douteux et les errances des uns et des autres d'un ennui quasi mortel. Quant au personnage de Magimel qui vibre quand il touche son vieux copain mais ne veut surtout pas qu'on le considère comme un homo, alors là, c'est le pompon. 

Il n'y a que Valérie Bonneton qui m'ait fait sourire, en épouse zen et bio d'un chasseur de fouines psycho-rigide.

A mettre au fond d'une poche avec un mouchoir par dessus. Dommage.

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17 novembre 2010

Ce refrain qui nous plaît

Totalement pompée par une Marianne venue me rappeler durement que la vie d'une pauvre créatrice textile sans diplôme mirobolant ni réseau tentaculaire n'est pas un long fleuve tranquille, j'ai erré comme une âme en peine pendant deux longues journées. Autant vous dire que ce n'était pas le moment de tâter de la souris. Je n'avais pas un sou d'inspiration.

Pourtant, il y aurait eu à dire sur cette 45ème semaine de 2010 et cette soirée torride organisée par l'homme qui, certainement mû par une nostalgie sourde, a eu l'idée ô combien audacieuse de manger du service public un samedi soir.

Le come back de Champs-Elysées. Ne me dites pas que vous n'êtes pas au courant.

Une minute de générique et j'avais compris que la cible, c'était les plus de 112 ans. C'est juste après avoir subi la prestation du père et du fils Reno que j'ai envisagé d'appeler le premier avocat des Pages Jaunes pour un divorce rapide et bien ficelé et puis, je me suis ravisée. A les voir tous se flatter les uns les autres sur fond so politiquement correct,  je venais soudain de trouver un jeu palpitant :  "Alors, tu dis quoi, toi ? Il est lifté, lui, ou pas ? Botoxé jusqu'à la moelle ? Ou juste un petit peeling ? Un remaillage complet, tu crois ?". C'est comme ça que l'homme, vautré dans ses plumes en quête de revival eighties, je l'ai pourri pendant tout son programme has been. Tant et si bien qu'il a fini par avouer son amère déception et s'est mis à déblatérer avec moi.

Somme toute l'exercice anti-fièvre-du-samedi-soir m'a détendue et c'est de fort bonne humeur que je suis montée me coucher en hurlant....

"Et tu chantes, chantes, chantes, ce refrain qui te plait
Et tu tapes, tapes, tapes, c'est ta façon d'aimer
Ce rythme qui t'entraîne jusqu'au bout de la nuit
Réveille en toi le tourbillon d'un vent de folie. "

C'était sans compter les viles manigances de mon PDPA-bien-aimé. J'avais à peine brossé deux dents qu'un journaliste peu scrupuleux m'annonça sans ambages que la France avait perdu son Premier Ministre.

Le choc.

S'en est suivi une nuit d'angoisse innommable à espérer un nouveau gouvernement, à compter non pas les moutons mais les ministrables, pariant dangereusement sur les arrivées et les départs des uns et des autres.

"Ce rythme qui t'entraîne jusqu'au bout de la nuit
Réveille en toi le tourbillon d'un vent de folie. "

Dimanche matin, quand celle-qui-me-dit-tout-sur-ce-monde-débile a annoncé la nouvelle extravagante, je me suis fait un clin d'oeil dans le miroir et en bombant le torse, je me suis créditée d'un : "Cocotine, tu es une sorte de visionnaire."

Quoi ?

Rappelez-vous. La semaine dernière, alors que j'étais en pleine supputation, à mots couverts, je vous l'avais prédit.

Allez, venez danser avec moi pour fêter ça !

"Et tu chantes, chantes, chantes, ce refrain qui te plait...

Bonne semaine à tous !

17 novembre 2010

Goûter entre filles

Faire un sort aux derniers pancakes mais dans un style différent : pour Miss Cocotine, en Club Sandwich revisité au miel et pour moi, tartinés de petites douceurs dont seule ma copine Dominique a le secret. La bougresse, elle sait ce qui est bon.

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14 novembre 2010

Ecossais forever

Hier, j'ai fait un saut chez le suédois pour m'imprégner de la tendance Christmas 2010 et dénicher des boules turquoises. O surprise, je n'y ai découvert que du bleu-blanc-rouge relativement classique et j'ai donc dû remballer mon envie apparemment décalée.  Par contre, j'ai dégoté ce papier écossais, tout ce qu'il me fallait pour mon petit brunch de ce matin.

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13 novembre 2010

Trop de bol

Je n'étais pas très riche en bols et depuis deux ans, je louchais gravement sur le catalogue de Cath Kidston. L'homme m'a enfin ramené ces quatre petites merveilles. J'en suis archi dingue !

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13 novembre 2010

Détournement d'armoire

Détourner une armoire de notaire en biblio, c'est l'idée qui m'est venue lorsqu'on est tombés sur cette affaire à la brocante de Viarme. Elle nous a enfin été livrée ce matin et de coups d'aspi en tartines de cire, on en est arrivés là. L'avantage, à mes yeux, c'est qu'on peut cacher les livres qui ne sont pas très jolis et choisir de laisser des pans ouverts sur ceux que l'on préfère.

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11 novembre 2010

Un temps de 11 novembre

Heureusement que mes jolis chrysanthèmes roses illumine la terrasse.

Bonne journée à vous tous !

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9 novembre 2010

Intox

Je ne sais pas ce qui m'arrive mais j'ai bouclé cette 44ème semaine de l'an 2010 avec une patate du diable.

Agacée par le peu d'entrain que mettait la FPT à m'accueillir, je me suis mise à bouder dans mon coin et de ruminations en stratégies de vengeance, j'ai échoué dans mon atelier à remuer chiffons et rubans.  Se défouler dès potron-minet sur une pédale de MAC, ça a ses vertus. Et puis, tout bien réfléchi, le fil emmêlé de mon karma allait peut-être me réserver de nouvelles surprises. Le tout, c'était de ne surtout pas en douter.

D'ailleurs, à en croire celle-qui-me-dit-tout-sur-ce-monde-débile, l'hexagone s'engageait, lui aussi, vers une période faste. Un nouveau premier ministre, c'était exactement ce qu'il fallait aux français grognons pour retrouver enfin la niaque. Des mois que je rongeais mon frein en attendant ce coup de théâtre prometteur. Là, c'était clair et net, le vent allait enfin tourner. Une nouvelle France était sur le point d'émerger.

A moins que.

Non, mon PDPA-bien-aimé ne décevrait pas ainsi son bon petit peuple en faisant du neuf avec du vieux.

Tout ça pour ça ?

Franchement, une fin si peu pimentée, ce serait d'un triste.

Ca m'a avachie. Heureusement que jeudi soir, je m'étais prévu un programme boite-à-Ferrari-aiguilles-n°7. Vous le croirez ou non mais Françoise et Guilaine m'ont servi la recette qu'il me fallait sur un plateau doré : LA DETOX. Me détoxifier, me détoxiner, me désintoxiquer, c'est exactement ce dont j'avais besoin.

Me purifier de l'intérieur pour avoir enfin l'esprit qui flotte dans la ouate.

Evidemment, mieux valait fermer les yeux sur tous ces scientifiques rabat-joie qui prétendaient que tout ça n'était que pures balivernes et se fier à toutes ces bonnes gens qui conjuguaient allègrement les verbes balayer, épurer, drainer et accumulaient  les pièces d'or dans le dos des à-bout-de-nerfs ou des trop-crédules.

J'ai examiné toutes les méthodes en détails, du mélange de thé si bien markété que son créateur s'en frotte les mains chaque matin au séjour spécial jeûne 10-kilomètres-de-marche-par-jour-en-pleine-pampa-tisane-à-volonté-un-bouillon-chaque-soir-et-that's-all-folks, transformant ses adeptes en défricheurs intimement persuadés qu'une vache tient du miracle et que s'allonger dans l'herbe pendant que le coach se cache derrière un arbre pour boulotter son casse-croute améliore la vue, ce qui ne les empêche pas de ponctuer leur expérience par une descente chez le charcutier du coin, et j'ai choisi...

...l'irrigation colonique.

Pas tout à fait nouveau comme pratique.

Mais côté sémantique, un pur bonheur.

Bonne semaine à tous !

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