9 juin 2011
Amours ancillaires
Séduite par le premier de la série, j'ai filé au Bon Coin et là, j'ai fait affaire avec quelqu'un qui en vendait une floppée pour trois francs six sous. Dès que j'ai reçu mon petit paquet, je me suis à nouveau jetée avec délice dans cette Angleterre victorienne et aux côtés de Charlotte et Thomas Pitt, je me suis soudain retrouvée propulsée en plein Londres avec deux cadavres d'enfants sur les bras. Et assez vite, j'ai été frappée de voir à quel point les comportements de cette bonne société ressemblaient étrangement à tout ce dont les journalistes nous rebattent les oreilles depuis ce désormais célèbre dimanche 15 mai 2011.
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A