Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

Le petit monde de Cocotine

Newsletter
Archives
31 octobre 2011

Se souvenir des grandes dates

Vous vous souvenez du 13 août 2011 ?

Moi, je ne risque pas de l'avoir oublié.

C'est le jour où j'ai accepté un nouveau chantier rien que pour pouvoir offrir du Léon-en-action à toutes celles qui bavent comme des bouledogues - je sais, je l'ai déjà faite, celle-là, mais je l'aime bien (ne peuvent comprendre que ceux qui ont vu Rio) - devant mes plans charentaises et qui, dans la foulée, mettent une telle pression sur leurs amoureux qu'ils en viennent tous, et je les comprends, à vouloir ma peau pour se tailler des chaussons dedans.

Et du 25 août, vous vous en rappelez ?

C'est là que j'ai rappliqué ici pour classer le dossier en punaisant mon écoeurant before-after accompagné du mode d'emploi ad hoc. D'ailleurs, à part Lodulot, qui a attrapé le bleu que j'ai lancé en l'air ?

Eh bien, hier soir, 30 octobre 2011, à 21h54 et alors que Miss Cocotine était plongée en plein Shrek pendant que son père s'enfonçait un peu plus à chaque minute dans le club rapé, je me suis chaleureusement félicitée d'avoir sacrifié plusieurs week-end à peindre ce foutu escalier.

J'ai pas fait ça pour des prunes

mais pour des potirons.

a

b

c

d

Publicité
31 octobre 2011

Un tour au jardin

a

b

c

d

e

f

g

30 octobre 2011

Au coeur de la forêt du Gâvre

1

2

3

4

5

6

7

8

9

10

11

12

13

14

15

30 octobre 2011

Que se passe-t-il réellement à La Résidence ?

Atmosphère étrange où on se demande tout au long du film s'il y a ou non intrigue. Surtout pour André Dussollier que j'aime beaucoup. Ce n'est pas mal mais le garderai-je en mémoire très longtemps ?

Et vous, vous l'avez vu, ça vous a plu ?

c

 

29 octobre 2011

Goûter d'automne en prévision

Dans le dernier Elle à table, quelques idées pour Halloween dont je vais sûrement m'inspirer pour le goûter d'automne que je prépare pour ma bande de copains. Des rondelles ou des moitiés de bananes mariées à des pics et plongées dans une couverture chocolat, puis parsemées de noix de coco ou de copeaux de chocolat oranges. On verra à quatre heures si l'essai est transformé.

DSC_0015_2

DSC_0004_2

Publicité
29 octobre 2011

Succès modéré

Hier soir à table, les assiettes remplies d'écrasée de petits pois à la mode de Jamie :

Miss Cocotine, pleine de mauvaise volonté : J'aime pas.

Moi désappointée : Comment ça, t'aimes pas ? Y'a des petits pois, tu aimes, des pommes de terre, tu aimes, et des brocolis, tu aimes.

Miss Cocotine chouineuse à souhait : Non, j'aime pas.

Moi menaçante : Eh, pas de légumes, pas de Tintin.

Miss Cocotine avalant un dizième de cuillère : J'aime pas.

Moi tentant l'argument imparable : Tu l'aimes bien, Jamie Oliver, et puis c'est toi que me l'as offert, ce bouquin, avec Papa, pour mon anniversaire.

Miss Cocotine avec une grimace : Oui, j'aime la couverture mais pas ce qui y'a à l'intérieur !

DSC_0006

28 octobre 2011

Pourquoi se gâcher la vie ?

Je vous souhaite un week-end épatant

et vous offre ce clip dément

en cadeau bonux.

28 octobre 2011

Etrange compensation

Avec tout ça,

heureusement que j'ai Jamie dans ma vie.

Et quoi de mieux que de me concentrer sur son écrasée de petits pois pour transformer ma rage en énergie positive et nourrissante ?

J'ai tout bouclé en 30 minutes sauf le crumble gourmand de cabillaud, la sauce tartare et la salade chaude du jardin.

C'est ballot, ça.

Si seulement Jamie pouvait m'inviter à London pour un stage de perfectionnement, je pense que je saurais faire preuve d'un courage et d'une volonté invincibles et j'irais peut-être même jusqu'à faire la plonge.

DSC_0023_2

DSC_0001_2

28 octobre 2011

Rire et pleurer

Mieux vaut être costaud pour voir ce film mais bizaremment, au milieu de toutes ces histoires plus ignobles et poignantes les unes que les autres, j'ai beaucoup ri. C'est dosé juste comme il faut et les acteurs sont excellents avec la découverte, pour moi, de JoeyStarr dont les albums ne sont pas exactement ma cup of tea - mais peut-être ne les connais-je pas assez bien - et que j'ai trouvé là absolument bouleversant. D'ailleurs, il m'a fait chialer.

Et vous, vous l'avez vu, ça vous a plu ?

PO

28 octobre 2011

Le baratin du vendredi 28 octobre 2011

Ravie d'avoir quelques euros de plus à jeter dans l'économie, j'avais, hier soir, programmé une escapade en tête-à-tête avec mon Léon. Enfin plutôt en côte à côte vu qu'il s'agissait de grimper dans ma décapotable pour foncer s'encanailler à l'UGC d'Atlantis.

Du coup j'ai honteusement et complètement inconsciemment séché le cours d'économie que mon-PDPA-bien-aimé avait décidé de dispenser au bon peuple français.

La grosse mécréante.

Ce matin, je m'en veux horriblement de ne pas lui avoir accordé autant de temps de parole que je n'en ai consenti au parti qui, en monopolisant les médias, a rendu maboules tous les lieutenants du susnommé.

Remarquez, j'avais déjà bravement écouté notre ministre du travail le matin même sur France Inter et à en croire l'état de bête enragée dans lequel son discours m'a projeté, il valait mieux arrêter les frais pour la journée, histoire de remettre mon bataillon de neurones en ordre.

C'est qu'il m'en a fait bavé.

D'ailleurs, je ne sais pas ce qui m'a le plus emberlificoté les nerfs entre cet aveu lancé après 4 ans de pouvoir :

"Maintenant, on doit gérer l'Etat comme un père de famille gère le budget familial. Si vous avez moins d'argent qui rentre, vous devez veiller à ce que les déficits n'augmentent pas. Pendant des années, on s'en est allégrement moqué."

ou sa difficulté à défendre une baisse de la TVA dans la restauration qui a coûté 3 milliards et qui a été compensée par seulement 35000 à 40000 emplois et quelques réductions sur les cafés ou les menus enfant pour faire gober au consommateur que la mesure avait eu un réel impact.

Je me tâte.

A moins que ce ne soit son terrible souci de trouver du personnel pour le secteur de l'hôtellerie-restauration apparemment désespéré, alors qu'il a, le pauvre, 2 700 000 demandeurs d'emploi dont il ne sait que faire.

D'un coup, j'ai senti la moutarde me monter au nez car le discours qui est servi depuis 2007 et qui consiste à faire croire que les personnes qui ont perdu leur emploi n'ont qu'à se reconvertir vers un métier en tension n'est destiné qu'à contenter tous ceux qui crachent en permanence sur les chômeurs soi-disant profiteurs et qui par ailleurs, n'ont pas la moindre idée de ce que c'est, de se retrouver à faire la queue à Pôle Emploi après un licenciement ou une fin de contrat précaire.

La réalité du terrain est infiniment plus complexe et ce genre de propos simplistes et électoralistes ne fait que dresser les uns contre les autres.

Et que dire de ce qui a suivi ? Peut-être que c'est la cerise sur le gâteau.

"C'est des vrais emplois, c'est des emplois dans lesquels vous pouvez rentrer comme serveur, comme plongeur et si vous voulez gravir les échelons, vous pouvez même aussi prendre la tête d'un établissement."

Voilà un vrai argument à faire avaler à ceux de plus de quarante ans, par exemple, qui ont toute une carrière derrière eux mais qui pourront, s'ils en ont le courage et la volonté parce qu'il s'agit bien de mettre ces formidables qualités en exergue pour mieux pointer du doigt ceux qui sont désemparés devant tant d'absurdités, repartir vers un nouveau défi en acceptant un poste de plongeur.

Aide-toi, le Ciel t'aidera, il faudra en parler aux salariés de PSA qui vont peut-être se retrouver sur le carreau.

Accessoirement, si certains employeurs de la restauration et de l'hôtellerie avaient traité leur staff avec un peu plus de dignité ces dernières décennies, ils auraient probablement plus de facilité à embaucher aujourd'hui.

Etouffée par cette hypocrisie,

il fallait que je pointe mon nez ici

pour redorer le blason

du demandeur d'emploi de bonne foi.

Et même si je ne les connais ni d'Eve ni d'Adam, je claque la bise à tous ceux qui passent ici et qui cherchent un job.

Vendredi 14h : J'a rattrapé mon cours grâce à La Nouvelle Edition sur Canal et si dans un premier temps, je suis restée dubitative tellement les concepts c'est-pas-ma-faute et heureusement-je-suis-votre-sauveur étaient déclinés à l'infini, dans un deuxième temps, j'ai été totalement rassurée par le fait que mon-PDPA-bien-aimé ait choisi de faire référence aux Borgia pour m'expliquer que le monde avait évolué depuis le 16ème siècle.

Après tout, si j'en croyais le teaser de la série :

Borgia
N'ayez pas foi en eux

Complot
Trahison
Déviance

je n'avais aucune raison de douter de sa leçon.

Publicité
Publicité