Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

Le petit monde de Cocotine

Newsletter
Archives
18 mars 2012

Cloclomania

Que faire en ce dimanche gris et triste à souhait ?

Perdre 38 ans d'un coup, d'un seul, en m'enfermant dans le noir avec l'éblouissant Jérémie Renier.

Même si l'idole de mes 10 ans était plutôt celui qu'il considérait au début comme son rival, Claude François est lié à mon enfance et je me souviens très bien de ce samedi 11 mars 1978 et de mon père entrant dans ma chambre pour m'annoncer sa mort.

Le film est touchant car sans concessions sur les failles du personnage, perfectionniste et tyrannique. Il raconte l'homme, pas la star : la relation difficile qu'il avait avec son père, celle, fusionnelle, qu'il entretenait avec sa mère, ses histoires de coeur mouvementées, ses enfants franchement malmenés, son sens du business et du marketing, sa fascination pour l'Amérique, ses doutes et son acharnement. Pour moi, le passage le plus émouvant, c'est quand il chante My way au Royal Albert Hall, en 1978.

Comme je n'ai jamais été people et que ce n'est donc pas moi qui aurais campé devant chez lui - je ne savais même pas qu'il avait été avec France Gall -, j'ai appris beaucoup de choses sur son parcours si étonnant et si flamboyant. Et franchement, je me répète, le travail de Jérémie Renier est si fantastique que c'en est très perturbant.

WAOW !

Et vous, vous l'avez vu, ça vous a plu ?

cc 

Publicité
17 mars 2012

Goûter d'anniversaire

Une après-midi joyeuse avec de petites stylistes en herbe bourrées d'idées et un défilé de mode devant les Mamans. Léon avait fait des brownies et de la glace vanille, moi, un cake à l'orange et de la panna cotta. Et devinez sur quelle musique les filles ont décidé de faire leur show ? Alexandrie, Alexandra. D'ailleurs, Léon a lâché son match deux minutes pour descendre mettre l'ambiance. Ce soir, tout le monde est rétamé. Rétamé mais heureux.

a

b

c

d

e

f

g

h

i

i2

j

14 mars 2012

Bonne nouvelle

Au moment où je découpe et je colle pour préparer le goûter d'anniversaire que Miss Cocotine partagera samedi avec ses copines, une bonne nouvelle s'est glissée dans ma boite mail. La dame des Crys a enfin retrouvé sa petite fille et leur famille est partie pour une nouvelle tranche de vie.

Ca embellit ma journée.

DSC_0011_2

DSC_0005_2

DSC_0001_2

13 mars 2012

Le baratin du lundi 13 mars 2012

Ce soir, j'ai comme une envie de me faire plaindre et puisque les fées - encore elles, ces grosses flemmardes - n'ont pas doté Léon de la moindre compassion envers le chômeur de longue durée, je me vois contrainte de rappliquer ici pour quémander du réconfort.

Car figurez-vous qu'au bureau, trois de mes petits camarades de jeu sont, depuis deux semaines, sur des charbons ardents.

Et pourquoi donc, allez-vous me demander ?

Allez, dites le !

OK, c'est cool.

Eh bien, tout simplement parce que, demain à 13 heures, ils passent le concours d'adjoint administratif de 1ère classe. Le même exactement que celui que j'ai

depuis un an et huit mois.

Et là, vu qu'ils sont tous embauchés définitivement alors que je moisis doucement mais sûrement sous contrat à durée limitée - je radote au cas où vous auriez oublié ma déconfiture et pour briefer les petits nouveaux qui doivent absolument savoir à quel point ma carrière professionnelle sent le souffre - je dois vous avouer que j'en bave des ronds de chapeau.

Et pourtant, au prix d'un effort incommensurable, je les ai écoutés, rassurés et encouragés poussant même jusqu'à répondre à des questions d'orthographe :

"Toi qui es bonne en français - je leur ai dit que j'avais eu 16,81 de moyenne - je n'ai jamais su si on disait à l'intention ou à l'attention de quelqu'un ?"

J'ai expliqué bravement tout en me disant que ses quinze jours de révision, à ma gentille petite collègue, c'était soit de la naïveté, soit de la témérité, et vu l'étendue des dégâts, je lui ai même glissé un conseil en douce : "Tu sais, j'ai bûché plusieurs mois, pour l'avoir, le concours."

Et dès que mon amour propre refaisait surface, je lui filais un grand coup de pied dans les fesses en lui assénant un "Casse toi, pauv' con", une expression inhabituelle chez moi et peu élégante, qui m'est venue d'on ne sait où d'ailleurs.

Au milieu de ces festivités, un grand ponte a gentiment déboulé hier avec une offre d'emploi qu'on venait juste de lui faire parvenir. Pour moi et rien que pour moi. Enfin, ça m'a fait plaisir d'y croire pendant quinze secondes, et puis, j'ai pris connaissance de l'échange et j'ai vu qu'elle avait été également envoyée à vingt-six autres collectivités.

Anyway,

les affaires reprenaient,

mon réseau bouillonnait,

il fallait mettre le paquet.

Le soir même, je peaufinai mon dossier et le jetai dans la boite mail de son homologue.

Ce matin, après avoir frimé un brin en lui démontrant à quel point j'avais été réactive sur ce coup là, j'ai obtenu une réponse qui m'a laissé dubitative :

"Bon, c'est bien, je vais pouvoir l'appeler pour voir si c'est une vraie annonce ou s'ils ont déjà quelqu'un sous la main."

Tout ça pour ça.

De fausses offres, ça fait déjà plusieurs fois qu'on me la joue, celle-là. J'ai beau ratisser large, à droite, et à gauche, essayer de séduire les uns et les autres, proclamer que je ne suis qu'une fille modeste qui cherche un job somme toute assez simple, rien ne porte ses fruits.

J'ai la scoumoune.

Remarquez, depuis quelques jours, je me dis qu'il me reste encore une carte à jouer.

Demain, je me pointe au boulot

sur la musique de Superman.

Sûr, je remonte dans les sondages de la FPT.

Bonne soirée à tous

et n'oubliez surtout pas d'être heureux

envers et contre tout et tous !

12 mars 2012

Souvenirs, souvenirs

Au rayon jeunesse de Waterstone's, j'ai craqué pour ces deux livres sur Londres que j'ai plaisir à relire avec Miss Cocotine en souvenir de sa première escapade là-bas. Et par bonheur, j'en ai eu un gratuit mais celui-là, je vous en parlerai un autre jour. Et c'est très facile de les acheter LA et LA. Je dis ça, je dis rien.

DSC_0004_2

DSC_0006_2

Publicité
11 mars 2012

Le jeu n'en vaut pas la chandelle

A votre avis, que m'est-il arrivé à l'issue de cette semaine épanouissante consacrée à me demander pourquoi mon collègue se transforme en Hulk à la moindre contrariété et à m'enthousiasmer pour ce grand débat national sur la viande halal ?

J'ai reçu une réponse négative

d'une mairie du double four.

Là, je dois vous avouer que je ne suis pas fière de moi car comme antidote, je n'ai rien trouvé d'autre que de me précipiter au bureau de tabac pour faire cocher deux cases de Loto à Miss Cocotine, et en la menaçant, en plus : "Débrouille-toi pour cocher les numéros gagnants. Sinon, t'es punie."

Puis, consciente du fait que mon attitude pourrait l'amener à mal évaluer la valeur travail, je suis partie dans un cours magistral sur la FDJ qui s'est fini comme ça :

Moi, freinant des deux pieds pour éviter qu'elle plonge dans le vice au lieu de travailler plus pour gagner plus : Tu sais, de toutes façons, on a une chance sur des millions, de gagner. C'est quasiment nul et ça ne se produira sûrement jamais.

Miss Cocotine, paumée : Oui, mais moi, j'ai gagné l'autre jour.

Effectivement, comme elle semble avoir la baraka au Serpentina, on lui a déjà demandé, une fois, de cocher des cases de Loto et elle a eu trois numéros gagnants.

Moi, rétablissant la vérité : C'est vrai mais c'était une toute petite somme de rien du tout. Quelques euros.

Miss Cocotine : Oui, pas des millions.

Moi : Mais en fait, si tu ne gagnes pas le gros lot, tu peux quand même avoir quatre ou cinq numéros par exemple, et là, tu récoltes déjà une belle somme. Mais tu sais, moi, ça ne m'est jamais arrivée une seule fois dans ma vie.

Miss Cocotine, la mine dépitée : Moi non plus !

DSC_0035_2

11 mars 2012

Touches d'espoir

Ce n'est pas la fête de la fleur sur le lopin. Les crocus et les jonquilles sont sortis trop tôt. Rien de tel pour se faire cramer par un méchant coup de gel et c'est exactement ce qui s'est passé. Du coup, on n'a pas grand chose à se mettre sous la dent pour rêver au printemps. Ceci dit, je viens de profiter d'un rayon de soleil après deux jours de grisaille plombante pour faire mon petit tour et j'ai quand même réussi à dégoter une poignée de jonquilles que je vous offre ce soir.

a

b

c

d

e

f

11 mars 2012

Parler pour ne rien dire

La bande annonce m'avait attirée mais à vrai dire, ça a assez vite tourné au vinaigre. En fait, j'ai trouvé ça insipide et contre toute attente, je n'ai pas beaucoup ri. Bien des passages sont longs, voire inutiles, les dialogues sont plats et même si les papiers peints et les voitures sont torrides, rien n'a vraiment résonné en moi. Ces ambiances du quotidien où il ne se passe rien de transcendant, c'est déjà pénible dans la vie. Alors, au cinéma, très peu pour moi.

Et puis, à quoi riment les premières et dernières scènes ? La gamine charmante des années 70 est devenue adulte et au cours d'un voyage en train, elle se met à repenser à son enfance. Là où le bât blesse, c'est que, comme elle est plutôt intransigeante et coriace, elle n'a de cesse de virer les quatre personnes qui sont tranquillement assises à l'espace carré, parce qu'apparemment, une famille a plus droit à ces places là que ceux qui voyagent seuls et qui les ont réservées. Et pourquoi donc, ma bonne dame ? Je ne vois pas, moi.

Et vous, vous l'avez vu, ça vous a plu ?

a

10 mars 2012

Une soirée pas si Mossad

Ce thriller tient en haleine même si j'ai préféré la première partie qui se déroule dans les années 60 à la seconde, contemporaine, avec cette fin que j'ai trouvée un peu lourde. Mais globalement, ce n'est pas mal du tout.

Et vous, vous l'avez vu, ça vous a plu ?

aa

10 mars 2012

Et une enquête de plus

Je suis revenue aux aventures de Charlotte Pitt et franchement, je l'aime bien, cette héroïne qui ne s'en laisse pas conter face à un monde fermé et enferré dans ses préjugés. Allez, j'attaque le suivant.

Sans titre

Publicité
Publicité